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Ventôse 220

Dans le détail

Chris est trader à Wall Street depuis 20 ans… Mais aussi photographe. Et selon vous, où va-t-il traîner lorsque le temps de la finance le lui permet ? Soho, Chelsea, Greenwich Village ? Non : le Bronx, et pour y faire quoi ? Le portrait de junkies, de sans-abri,

Chris est trader à Wall Street depuis 20 ans… Mais aussi photographe. Et selon vous, où va-t-il traîner lorsque le temps de la finance le lui permet ? Soho, Chelsea, Greenwich Village ? Non : le Bronx, et pour y faire quoi ? Le portrait de junkies, de sans-abri,

de putes… Ce grand écart tout à fait inédit est à méditer dans sa série « Faces of addiction ». http://www.flickr.com/photos/arnade/

Billy and Hells alias Andreas Oettinger et Anke Linz sont des photographes de mode berlinois, avec ce petit quelque chose en plus qui nous renvoie -comme chez un Thomas Devaux (http://thomasdevaux.com/), dans le champ plus vaste des arts plastiques. Voilà quelques

Billy and Hells alias Andreas Oettinger et Anke Linz sont des photographes de mode berlinois, avec ce petit quelque chose en plus qui nous renvoie -comme chez un Thomas Devaux (http://thomasdevaux.com/), dans le champ plus vaste des arts plastiques. Voilà quelques

mois ils ont fait la couverture de l’excellente revue néerlandaise « Eyemazing » avec leur série « Blue Moon »…http://www.billyundhells.de

Cet autodidacte Canadien, fasciné par l’imbrication entre social et écologie,  expérimente sans cesse : tour à tour reporter, portraitiste, topographe plasticien, et autre… Son talent saute aux yeux… Très présent sur les réseaux, ces récentes recherches autour du paysage nocturne sont tout à fait intéressantes, à voir ici : http://www.benoitp.com/

On qualifie volontiers le travail du photographe américain Jeff Bark de « romantique » et de « symboliste »… Et c’est parce que cette image tout en molestant ses ascendances en est aussi un saisissante allégorie que nous l’avons choisie. Qu’y voit-on ? Innocence contre innocence,

la figure de la candeur se faire étrangler par elle-même… Ambiguïtés et cruauté, cauchemar blanc mythologique, des corps d’éphèbes jalousent-ils un concurrent ou brutalisent-ils du concept ? Sont-ce des gardiens de Léda dépêchés là pour changer l’histoire, ou sinon d’odieux fils d’Icare cherchant à venger leur père… L’image est belle, tirant sa force d’une naïveté assumée et injuriée, un oxymore de couleurs désaturées, une rixe noire et blanche rehaussée de bleu. http://jeffbark.com/

Une série de portraits qui vaut le détour : à la manœuvre Jaroslav Kocian qui travaille en extérieur et au flash -à la manière d’une Rineke Djikstra, c’est rare, c’est surprenant et surtout : ça nous a plu. http://www.flickr.com/photos/38386169@N07/

Depuis 2008, la série « domesticated » d’Amy Stein a connu un joli succès. C’est à cette date qu’elle se vit récompensée par Martin Parr, comme ayant permis la réalisation du meilleur livre photo du festival de New York. Elle a été pour le photographe l’occasion de « traiter des interactions entre humains et animaux dans

la petite ville de Matamoras en Pennsylvanie ». Série troublante à plusieurs points de vue, dont celui d’abord de l’interrogation constante sur la réalisation : y-a-t-il montage ? Y-a-t-il mises en scène ? Ou la captation est-elle authentique ? Au final, et si l’on regarde bien, les réponses possibles sont écartées d’un revers de main : que ce soit l’un ou l’autre, c’est tout aussi bluffant… http://amystein.com/

Un joli regard sur l’enfance, sujet qui inspire visiblement nombre de grands photographes, à n’en pas douter Cynthia en fera partie. http://cynthiahenebryfilmphotography.com/

Un joli regard sur l’enfance, sujet qui inspire visiblement nombre de grands photographes, à n’en pas douter Cynthia en fera partie. http://cynthiahenebryfilmphotography.com/

Taylor Wessing photographic portrait prize 2013. http://www.spencermurphy.co.uk/project/portfolio/

Lauréat du World Press Photo Award en 2010, on ne présente plus David Chancellor, ce cliché, l’un des plus beaux de  sa série « hunters », court depuis quelques temps sur le réseau, nous l’avons attrapé au vol, oui, oui : comme au ball trap. http://www.davidchancellor.com/docs/home.php

L’australienne Rosemary Laing a eu ce projet invraisemblable de faire construire la charpente retournée d’une maison en nouvelle galles du sud. L’étrange installation qu’on dirait tombée du ciel

est dans la continuité de la réflexion de l’artiste sur la colonisation des terres sauvages de son pays. Formes rigides contre arabesques végétales, bois mort contre bois vivants, structures coloniales contre organisation indigène, cette habitation de type « banlieusarde », du genre qui plébiscitée de ce coté là du continent, est comme l’éclaireur d’une ville proche, intruse, tumorale, une vilaine « écharde » qui menace. http://tolarnogalleries.com/artists/rosemary-laing/

La jeune photographie des pays d’Europe de l’Est et de Russie est vraiment incroyable, il s’y passe quelque chose « d’authentique » et de profondément mélancolique qui nous touche tout particulièrement. Pour preuve, quatre (très) jeunes artistes dont, ici, les deux premiers Yura et Olga, et un peu plus bas Katerina et Anna. Nous gardons un œil sur eux… http://yura-kurnosov.ru/

Dans sa série « Master Plan », le designer californien Chad Wright parle lui aussi de maison et de banlieue. En confrontant ses baraques de sable aux marées du pacifique Nord, il nous parle d’enfance, de la sienne et de la notre, mais aussi des années de planification américaine d’après-guerre et son cortège de constructions normées. L’idée tout aussi simple qu’elle est riche et

belle réussit avec très peu de moyens à délivrer un spectacle ample et puissant; l’on y est tour à tour saisi par l’immédiateté d’une organisation dérisoire et le prolongement d’un projet plus vaste et cohérent : temporalité humaine et immortalité élémentaire, là où se côtoient éphémère et infini, résolution grégaire et sentiment océanique. http://studiochadwright.com/website/about/about.html

http://www.olyaivanova.com/

http://www.olyaivanova.com/

studio, en plan serré. Selon l’aversion ou la fascination ressentie pour ce genre d’animal à sang froid (je parle du serpent), la réception du visuel  se fait d’abord par le ventre. Ça tombe bien puisqu’il s’agit aussi de manger du symbole. En manger ou se faire étrangler par lui… Est-ce le nœud d’une funeste corde cet aspic ? Une auréole ? Retour sur péché, de revers en protubérances, la vénéneuse a une peau de pêche, une peau à contrition, et en écharpe : un boa constrictor…   http://www.juulkraijer.com/RecentWorks.html

Il n’est finalement pas si évident de trouver des « incandescences » autour du nu. Quelque chose  sans prétention, sans démonstration, sans vulgarité… Dans le travail de cet américain originaire d’Orégon il n’y a rien de tout cela, bien au contraire. Alors certes, la mode « Pola » est  un peu passée, mais Rich s’en fout, lui en faisait avant, et continuera après… Mais surtout, il

Il n’est finalement pas si évident de trouver des « incandescences » autour du nu. Quelque chose  sans prétention, sans démonstration, sans vulgarité… Dans le travail de cet américain originaire d’Orégon il n’y a rien de tout cela, bien au contraire. Alors certes, la mode « Pola » est  un peu passée, mais Rich s’en fout, lui en faisait avant, et continuera après… Mais surtout, il

sait comme personne capturer « l’eros » de ses modèles, là où d’autres ne nous livrent souvent que de la viande triste… Aucune raison donc de bouder son plaisir. http://richburroughs.com/

Très peu d’infos sur ce Zander Olsen et sa série « tree, line », ce qui rend sa panoplie Land-Art d’autant plus mystérieuse. Du coup, on se tait et on essaye d’en savoir plus prochainement… En attendant, la série complète est là : http://www.zanderolsen.com/

Très peu d’infos sur ce Zander Olsen et sa série « tree, line », ce qui rend sa panoplie Land-Art d’autant plus mystérieuse. Du coup, on se tait et on essaye d’en savoir plus prochainement… En attendant, la série complète est là : http://www.zanderolsen.com/

encore Hermès, Elle est aussi exposée en ce moment à Paris à l’Institut Suédois  http://www.juliahetta.com/

Une réflexion originale sur le féminin, la féminité, le féminisme, bref  tous ces mots commençant en « fem »… http://nagone.com/

Originaire de Richmond, Nicholas Max Scarpinato, la vingtaine débutante, nous convie, pour cette image, à un univers entre le romancier Frank Baum et le peintre John Brosio :  http://www.johnbrosio.com/tornadoes_one.html).

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Pour le contrepoint avec la démarche du-dessus : du masculin chez Yann Faucher, ça change, et c’est plutôt pertinent http://www.twelvejuly.com/

Photoquai, il en est toujours question ici, l’auteure de cette image n’étant autre que la directrice artistique et commissaire générale de la 3e édition. On ne présente plus Françoise Huguier : Lauréate de la villa Médicis, Prix World press photo ou encore des

rencontres d’Arles,- à noter qu’en 2014 une rétrospective de son travail sera présentée à la maison européenne de la Photo. Cette grande dame touche-à-tout, a été reporter chez Libération, photographe de mode reconnue, aujourd’hui proche de l’art documentaire contemporain… Dans son parcours, entre 2002 et 2011, elle séjourne dans les appartements communautaires de Saint-Pétersbourg et en fait un livre, “Kommunalki”, ainsi qu’un film, “Kommunalka”. Voici une image tirée de cette série.  http://www.francoisehuguier.com/

Retour en Europe de l’Est donc… http://www.flickr.com/photos/katerinatrinity/

Mohammed Ismail est né en Libye, pays qu’il a très peu connu puisque dès l’âge de 4 ans sa famille s’installe en Angleterre où il passera son adolescence. En 2011, Mohammed est retourné sur cette terre natale lointaine; faufilé par la frontière tunisienne, il

cherche à y rencontrer les combattants anti-Kadhafi, la résistance.  http://www.mohammedismail.com/

http://www.flickr.com/photos/anna_kharina/

La jeune américaine Sara Naomi Lewkowicz  a reçu le prix Prix Rémi Ochlik de la ville de Perpignan pour son reportage «embeded». Et on ne peut que saluer cette décision.  Document traitant du cercle infernal des violences conjugales, Sara s’est intégrée plusieurs mois

à la vie d’une famille moyenne, suivant son quotidien : celui de Maggie,19 ans et Shane, 31 ans. Le résultat est plein de la complexité qu’il fallait pour aborder le sujet. A la fois tendre et inquiétante, poignante et  effroyable, la plus belle réussite de cette série est d’avoir su rendre la perpétuelle tension d’une relation placée sous le signe de ces dérives là. Il y a ce je-ne-sais-quoi de dissimulé dans l’ordinaire, qui rôde, de la folie dans certains regards, de la candeur dans d’autres, une déflagration prête à tout emporter. Il y a ce trouble qui vient de ce que ces deux là s’aiment, s’aiment vraiment, et que, comme sur une corde raide, le fil de leur regard, le fil de leur amour, peut se couper à chaque instant, au moindre prétexte.  Immersif comme rarement, a ce point qu’il en devient  presque dérangeant, déstabilisant, ce reportage fait bouger les lignes, on sait maintenant à quoi « ça  » ressemble, l’enfer d’une famille perdue dans la violence, d’un couple, de l’amour, et à ce seul constat, l’œuvre est salutaire… http://saranaomiphoto.com/Singles/1/

Nous n’avons pas attendu le Prix HSBC dont Noémie est la lauréate cette année, pour mentionner son travail qui comme chez un Georges Rousse est basé sur le trompe-œil et questionne l’objectivité supposée du médium photographique. http://www.noemiegoudal.com/

Nous n’avons pas attendu le Prix HSBC dont Noémie est la lauréate cette année, pour mentionner son travail qui comme chez un Georges Rousse est basé sur le trompe-œil et questionne l’objectivité supposée du médium photographique. http://www.noemiegoudal.com/

des caravanes tirées par des chevaux. Ces « New Gypsies » lui ont inspiré un splendide périple photographique de plus de dix ans. Mais vous l’aurez compris, sinon le moyen de transport, ces voyageurs tommies n’ont rien de la communauté Rom, ni les origines, ni l’apparence. Ils reproduisent simplement un mode de vie, ou plutôt un fantasme de mode de vie, qu’aujourd’hui, peut-être, l’on retrouve chez les derniers Tziganes roumains non sédentarisés… Pour rendre compte de cette rencontre, plutôt que de travailler dans le style habituel du documentaire photo, le photographe de Bristol crée des images oniriques ressemblant à des clichés de mode*, on y retrouve par exemple les couleurs de « roulottes, campement de Bohémiens » de Vincent Van Gogh, 1888. Cette « façon de faire »  qui sans amoindrir la force du témoignage en extrait une certaine fragilité, une beauté authentique qui participe peut-être à la réhabilitation -du moins espérons-le, de l’imagerie Rom dans l’inconscient collectif (voir le travail de Tony Gatlif à ce sujet), lorgne du côté d’un romantisme hippie très en vogue dans les années 2000. Ce mouvement, racine de la vague bo-bo qui sévit aujourd’hui se met ici au service d’une cause, sinon d’un respect de codes qui n’ont pas le vent en poupe. Là où esthétique et politique ont peut-être des choses à se dire, l’on voit aussi ce que l’on peut apporter comme critique à une telle entreprise : dévoiement de l’esprit Gypsie et effacement de ces nuances, récupération mercantile, esthétisation à outrance, uniformisation de la différence etc… *On notera qu’il a d’ailleurs embarqué Kate Moss dans l’un de ces sites pour un shooting : voir Kate & the gypsies; http://www.iainmckell.com/newgypsies/

Une image de la Lituanienne Gabriela Liivamägi. La composition, l’esprit « selfie », ces diagonales jetées entre sensualité et pudeur, mouvement et repos, transmission et absence nous ont plu, tout simplement…http://plahvatus.blogspot.fr/

à la superposition des noirs, blancs et gris. Fortement inspiré par des grands photographes du 19ème et 20ème siècles comme Cécil Beaton, Edward Steichen, Peter Lindbergh ou encore Irving Penn, Stefan s’inscrit dans une tradition d’auteurs surréalistes et minutieux dont le travail transcendent les genres et les époques. http://stefanmilev.com/